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Le Club des civettes face au confinement (épisode 4)

Par La rédaction,
le 7 avril 2020

Tout au long du confinement, nous demandons à nos civettes partenaires comment elles vivent cette période particulière. Voici une nouvelle série de témoignages. Toutes les autres sont appelées à nous envoyer leurs commentaires.

 

LA HABANERA (Dijon)

Oui, nous sommes toujours ouverts de 9h à 19h. Pas de souci d’approvisionnement pour le moment. Les client viennent toujours pour les cigares mais moins souvent et de ce fait, ils achètent plus.

 

À LA CIVETTE (Paris Ier arrdt)

Nous sommes en effectifs réduits, nous avons donc modifié les horaires d’ouverture selon les jours de la semaine. De 10h à 19h en semaine, de 10h à 16h le samedi et nous sommes fermés le dimanche. En ce moment, les clients achètent plutôt une boîte qu’un cigare et nous n’avons pas de problème d’approvisionnement.

 

TABAC DU PORT (17630 La Flotte-en-Ré)

Nous avons adapté nos horaires  : de 8h30 à 13h du lundi au dimanche. Chez nous, il y a moins de clients et ils achètent moins. Nous ne n’avons aucun problème d’approvisionnement : nous venons par exemple de recevoir des livraisons de Coprova et de Davidoff aujourd’hui.

 

TABAC LE GAGNEUR (31600 Seysses)

Nos nouveaux horaires : du lundi au samedi 7h30-18h et le dimanche 8h-12h30. La clientèle habituelle continue à venir et fait les mêmes achats. Pas de problème d’approvisionnement.

 

TABAC DE L’ESPLANADE (34140 Meze)

Nouveaux horaires : de 6h à 13h du lundi au dimanche. Notre clientèle habituelle continue à venir et nous avons aussi de nouveaux clients car il n’est plus possible d’aller faire ses d’achats en Espagne… Pas de problèmes d’approvisionnement en cigares – si ce n’est les habituelles difficultés sur certaines marques, notamment les Cohiba.

 

CAVE À CIGARES DES GRANDS BOULEVARDS (Grenoble)

Nous avons nous aussi modifié nos horaires : du lundi au vendredi  7h-16h et le samedi 8h-12h. Il y a moins de clients mais ils achètent plus. Nous n’avons pas encore fait de commandes de cigares depuis le confinement, nous vivons pour l’instant sur notre stock.